29 juin 2021
Depuis le 1er juillet 2020, l’Institut est compétent pour assister les victimes de diffusion non consensuelle d’images de nus ou à caractère sexuel (ce que l’on appelle le « revenge porn »). Près de nonante dossiers ont été ouverts. L’Institut lance une enquête afin d’établir un aperçu de la problématique.
Pour de plus amples informations, consultez le communiqué de presse.